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Photographie | Insectes | Plantes | Pollinisation par les insectes | Botanique | Peinture | Biologie animale | Plantes -- Pollinisation | Entomologie | Dessins et plans | Photographie en gros plan | Belle-dame (animaux) | Vanessa cardui | Plantes -- Fécondation | Pâquerettes | Papillons | Plantes aquatiques | Biologie | Danaus plexippus | Légendes mayas | ...
Abeille butinant un tournesol. Source : http://data.abuledu.org/URI/59097b17-abeille-butinant-un-tournesol

Abeille butinant un tournesol

Abeille butinant un tournesol, 12-08-2010.

Anémone des bois. Source : http://data.abuledu.org/URI/509709e8-anemone-des-bois

Anémone des bois

Planche N°3 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef : Anémone des bois (Anemone nemorosa). Du grec anemos : « vent » et du latin nemorosus : « des bois »), c' est une plante herbacée pérenne de la famille des renonculacées, typique des sous-bois dans les zones tempérées et fraiches de l'hémisphère nord (holarctique). L'anémone des bois forme des tapis qui peuvent être denses en sous-bois, en fleurs en mars-avril. Cette plante à un cycle végétatif précoce, qui lui permet de profiter de la lumière avant que les feuillages des arbres obscurcissent les sous-bois. Les fleurs blanches à blanc-rose suivent la course du soleil, ce qui lui permet probablement de mieux réfléchir les UV solaires et d'être mieux vues par les insectes pollinisateurs. Par temps humide, elles referment leur calice pétaloïde pour protéger leur pollen. Elle est est utilisée en friction locale, contre les rhumatismes. Comme les autres anémones, elle est toxique, en effet 200 mg d'anémonine suffisent à provoquer la mort d'un animal de 10 kg.

Argousier. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f218c-argousier

Argousier

Planche botanique N°283 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Argousier (Hyppophae rhamnoides). Ligneux très épineux, au port buissonnant, de 1-5 m (noté jusqu'à 18 m dans certaines flores, aux abords de pannes dunaires par exemple, il atteint facilement une dizaine de mètres alors qu'exposé au vent, la plante conserve des proportions moindres). Sa longévité s'étend jusqu'à 80 ans. La plante dioïque est pollinisée par les insectes et dispersée par les oiseaux. C'est une pionnière, héliophile, qui colonise les sols instables des alluvions de cours d'eau et du littoral sableux. En Grèce antique, l'argousier servait de remède aux chevaux : les feuilles et les jeunes rameaux étaient ajoutés à leurs fourrages pour favoriser une prise de poids rapide et rendre le pelage lustré notamment à l'occasion de courses de chevaux. Les Anciens ont maintenu les argousiers dans leurs pâturages. Selon une légende, les feuilles d'argousier ont été l'un des aliments préférés de Pégase.

Aristoloche clématite. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1f0a-aristoloche-clematite

Aristoloche clématite

Planche botanique N° 284 de l'Atlas des PLantes de France de Masclef, 1894 : Aristoloche clématite (Aristolochia clematitis). C'est une plante herbacée (20 à 80 cm) à tige dressée et anguleuse. Les feuilles sont larges et cordiformes (en forme de cœur). Le fruit de 5 cm de diamètre est une petite capsule en forme de poire. L'Aristoloche clématite possède également des stolons souterrains. Les fleurs de l'Aristoloche clématite sont jaunes et dégagent une odeur désagréable. Elles forment un tube d'environ 3 cm, par lequel les insectes pénètrent, attirés par le nectar. Le « piège » ainsi formé contient le pistil et les étamines, organes mâles et femelles de la plante. Les insectes pollinisateurs sont principalement des petites mouches. Une fois dans le réceptacle, les pollinisateurs ne peuvent s'échapper à cause des poils du conduit orientés vers le bas. Ces insectes vont donc se charger du pollen contenu dans les anthères. Les poils se fanent alors, ce qui libère les insectes. Ceux-ci véhiculent à leur insu les gamètes mâles de la plante vers un autre individu, et assurent ainsi la reproduction de l'espèce. L'Aristoloche clématite possède de l'acide aristolochique au niveau de ses parties souterraines. Cette molécule est toxique pour l'homme avec de multiples conséquences.

Belle-dame butinant. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b289d-belle-dame-butinant

Belle-dame butinant

Vanesse du chardon ou Belle-dame (Vanessa cardui) butinant une fleur d’échinacée pourpre (Echinacea purpurea).

Belle-dame butinant. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b291f-belle-dame-butinant

Belle-dame butinant

Vanesse du chardon ou Belle-dame (Vanessa cardui) butinant une fleur d’échinacée pourpre (Echinacea purpurea).

Belle-dame butinant un chardon. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b2c81-belle-dame-butinant-un-chardon

Belle-dame butinant un chardon

Belle-dame (Vanessa cardui) butinant une fleur de chardon.

Bourdon. Source : http://data.abuledu.org/URI/54db75bb-bourdon

Bourdon

Bourdon (Bombus terrestris) sur un oeillet d'Inde jaune (Tagetes patula), au jardin botanique de Tallin en Estonie, 12 août 2012.

Butinage par un coléoptère. Source : http://data.abuledu.org/URI/565cf9e6-butinage-par-un-coleoptere

Butinage par un coléoptère

Fleur de lis martagon (Lilium martagon) butinée par un lepture tacheté (Rutpela maculata) de la famille des cérambycidés (longicornes).

Chèvrefeuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050c298-chevrefeuille

Chèvrefeuille

Planche botanique du chèvrefeuille (Lonicera caprifolium), Atlas des Plantes de France, 1891. Comme les autres lianes, il offre un habitat supplémentaire aux oiseaux, et facilite le déplacement dans les arbres et buissons de certains insectes et petits mammifères. Ses fleurs sont surtout liées à divers espèces d'insectes de l'environnement nocturne, souvent à longue trompe (sphynx du chèvrefeuille).

Cicadelle blanche. Source : http://data.abuledu.org/URI/541546a4-cicadelle-blanche

Cicadelle blanche

Cicadelle blanche (Metcalfa pruinosa), 7cm, à Fronton (Haute-Garonne). Introduit accidentellement en Italie dans les années 1980, cet insecte piqueur-suceur d'origine américaine a rapidement colonisé le sud de la France. Elle est polyphage, et se nourrit de nombreuses variétés de taxons végétaux. Les plantes hôtes sont : érables, cornouillers, aubépines, saules, ormes, troènes, robiniers. Elle peut vivre sur ​​les plantes cultivées : comme la vigne, les agrumes, l'abricot, pêche, mûre et la framboise. Elle exsude un miellat particulièrement varié et abondant qui attire divers hyménoptères, dont les abeilles, qui le transforment en miel. Sur ce miellat se développe un champignon noirâtre, la fumagine. Les lézards se régalent à les consommer. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cicadelle_blanche

Ciste de Montpellier en fleurs. Source : http://data.abuledu.org/URI/554f2f0b-ciste-de-montpellier-en-fleurs

Ciste de Montpellier en fleurs

Ciste de Montpellier en fleurs au gouffre de l'Oeil Doux (Massif de La Clape, Fleury, Aude) en mai 2015. Le Ciste de Montpellier (Cistus monspeliensis) est un arbuste de la garrigue, supportant bien une période d'aridité et appréciant les sols calcaires. Son feuillage persistant vert et tomenteux est composé de feuilles lancéolées, rugueuses, réticulées, simples, trinervées, et sans pétiole net. Les fleurs très parfumées et pollénifères attirent papillons et insectes qui permettent ainsi une bonne pollinisation. Les fruits sont des capsules ovales déhiscentes à 5 valves contenant de nombreuses graines. La dissémination des fruits est favorisée par les oiseaux et les petits mammifères. C'est une plante dont l'utilisation est fondamentale pour coloniser les terrains dégradés et arides car elle s'adapte parfaitement aux conditions difficiles des sols pauvres de la garrigue ainsi que des sols pauvres proches des zones côtières méditerranéennes. En freinant l'érosion de ceux-ci, elle ralentit leur désertification. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cistus_monspeliensis

Cycle de vie des Angiospermes. Source : http://data.abuledu.org/URI/50df6199-cycle-de-vie-des-angiospermes

Cycle de vie des Angiospermes

Cycle de vie d'une Angiosperme. La division Magnoliophyta, ou angiospermes, regroupe les plantes à fleurs, et donc les végétaux qui portent des fruits. Angiosperme signifie « graine dans un récipient » en grec par opposition aux gymnospermes (graine nue). Ils représentent la plus grande partie des espèces végétales terrestres, avec de 250 000 à 300 000 espèces. Les angiospermes diffèrent cependant des autres plantes à graines par la présence des caractères suivants : 1) la condensation des organes reproducteurs en une fleur ; 2) la présence d'un ovaire enveloppant les ovules, et qui se développera pour donner un fruit ; 3) la double fécondation de l'ovule, qui donnera l'embryon et son tissu nourricier, l'albumen. La fleur et le fruit, qui sont propres à ce groupe, entraînent, pour de nombreuses espèces, une interaction avec les animaux dans la reproduction (pollinisation par les insectes, zoochorie...). Les angiospermes dominent les paysages naturels terrestres tropicaux et tempérés, comme la savane ou la forêt. Ils laissent la place aux résineux (Pinophytes) et aux lichens dans les biotopes les plus froids. Ils sont aussi présents dans les milieux aquatiques (Zoostère...).

Feuilles de lotus sous la pluie.. Source : http://data.abuledu.org/URI/50cdadb6-feuilles-de-lotus-sous-la-pluie-

Feuilles de lotus sous la pluie.

À la surface des feuilles de lotus se forment des gouttes d'eau brillantes et argentées (milieu de la photo), les feuilles du nénuphar (nymphéa) (à l'avant de la photo) sont complètement mouillées. Photo prise dans le jardin chnois des Jardins du monde (Gärten der Welt) à Berlin (Erholungspark Marzahn) en Allemagne. L'effet lotus est un phénomène de superhydrophobie causé par une rugosité nanométrique. Son nom provient du lotus (Nelumbo sp), dont les feuilles présentent cette caractéristique. D’autres plantes, comme les feuilles de capucine (Tropaeolum), de chou, de roseau (Phragmites), de taro (Colocasia esculenta) ou de l'ancolie, et certains animaux (par exemple les canards, plus particulièrement leurs plumes), notamment des insectes, montrent le même comportement. L'effet lotus confère à la surface des capacités autonettoyantes : en s'écoulant, les gouttes d'eau emportent avec elles les poussières et particules. La faculté d’auto-nettoyage des surfaces hydrophobes à structure microscopique et nanoscopique a été découverte dans les années 1970 et son application aux produits biomimétiques remonte au milieu des années 1990. L’origine de l’auto-nettoyage réside dans une double structure hydrophobe (c'est-à-dire qui n’absorbe pas l’eau) de la surface. Grâce à celle-ci, la surface de contact, et avec elle la force d’adhérence entre surface et eau ou particules de saleté, est si réduite que cela aboutit à un auto-nettoyage. La double structure est formée d'un épiderme. La couche extérieure s'appelle la cuticule où il y a une couche de cire. L'épiderme de la feuille forme des papilles de quelques microns sur lesquelles reposent les cires. Cette couche de cires est hydrophobe et forme la deuxième partie de la double structure. Pour la plante, la signification biologique de cet effet auto-nettoyant réside en la protection contre une colonisation par des microorganismes, des agents pathogènes ou bien des germes comme les champignons ou encore la prolifération d’algues.

Fleur de chèvrefeuille. Source : http://data.abuledu.org/URI/5050ce62-fleur-de-chevrefeuille

Fleur de chèvrefeuille

Photographie de fleur de chèvre feuille (Lonicera caprifolium) : C'est la nuit que le Chèvrefeuille exhale le plus son parfum, attirant de loin les papillons qui viendront féconder ses fleurs.

Fleurs d'aristoloche clématite. Source : http://data.abuledu.org/URI/506f1fce-fleurs-d-aristoloche-clematite

Fleurs d'aristoloche clématite

Fleurs d'aristoloche clématite (Aristolochia clematitis) : Les fleurs de l'Aristoloche clématite sont jaunes et dégagent une odeur désagréable. Elles forment un tube d'environ 3 cm, par lequel les insectes pénètrent, attirés par le nectar. Le « piège » ainsi formé contient le pistil et les étamines, organes mâles et femelles de la plante.

Fleurs de jonc diffus. Source : http://data.abuledu.org/URI/52f28a03-fleurs-de-jonc-diffus

Fleurs de jonc diffus

Fleurs de jonc diffus (juncus effusus). Les fleurs sont petites (2 mm), à 3 sépales et trois pétales beiges verdâtres, 3 étamines et un ovaire à trois lobes. La floraison se produit de mai à septembre. La pollinisation se fait par les insectes (entomogamie). Le fruit sec (follicule) forme une petite capsule. Les graines sont dispersées par les mouvements de l’eau (hydrochorie) ou transportées accrochées aux poils, pattes ou plumes d'un animal (épizoochorie). Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Juncus_effusus.

Gouttes de rosée sur un insecte. Source : http://data.abuledu.org/URI/538af169-gouttes-de-rosee-sur-un-insecte

Gouttes de rosée sur un insecte

Gouttes de rosée accrochées à un cercope sanguin (Cercopis vulnerata), insecte hémiptère commun en Europe et facilement reconnaissable grâce à ses couleurs vives, noir et rouge. On le trouve sur des plantes ligneuses ou herbacées, principalement dans les régions boisées : cet insecte de type suceur se nourrit de la sève. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Cercopis_vulnerata

Groupe de suricates. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d1b4db-groupe-de-suricates

Groupe de suricates

Groupe de suricates (Suricata suricatta) dans le désert de Kalahari en Afrique du sud. Le suricate (Suricata suricatta) est une espèce de mammifère diurne de la famille des Herpestidae (mangoustes) et la seule du genre Suricata. Ce petit carnivore vit dans le sud-ouest de l'Afrique. Mesurant de 26 à 38 centimètres, le suricate mange entre autres des insectes, des souris, des rats, des oiseaux, des petits reptiles et des tubercules ou bulbes de plantes en fouillant dans le sol avec ses pattes munies de fortes griffes non rétractiles de deux centimètres de longueur. Ils sont ainsi capables de déplacer leur propre poids de terre en 20 secondes. Une paupière transparente protège leurs yeux lorsqu'ils creusent le sable. Les suricates vivent dans les plaines semi-désertiques du sud-ouest de l’Afrique. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Suricate.

Hôtel à abeilles. Source : http://data.abuledu.org/URI/5103f1d2-hotel-a-abeilles

Hôtel à abeilles

Paris 5e arrondissement - Jardin des plantes - Hôtel à abeilles, vue de face. Le Muséum a installé en 2011 deux « hôtels à abeilles » en vue de préserver la biodiversité des insectes pollinisateurs, et notamment des abeilles sauvages.

Hôtel des insectes à Clos Lucé. Source : http://data.abuledu.org/URI/55cbd415-hotel-des-insectes-a-clos-luce

Hôtel des insectes à Clos Lucé

Hôtel des insectes dans le jardin potager de Clos Lucé, Amboise.

Insecte posé sur une fleur. Source : http://data.abuledu.org/URI/5398e7a5-hoverfly-april-2008-1-jpg

Insecte posé sur une fleur

Syrphe femelle (Episyrphus balteatus) se nourrissant de fleur d'Hebe.

Insecte posé sur une pâquerette. Source : http://data.abuledu.org/URI/5398e707-insecte-pose-sur-une-paquerette

Insecte posé sur une pâquerette

Le Syrphe ceinturé ou Syrphe à ceinture(s) (Episyrphus balteatus) est un insecte volant de l'ordre des diptères. On le confond souvent avec les guêpes, mais le syrphe est inoffensif. Son seul moyen de défense, est son extraordinaire rapidité, qui lui permet de s'éclipser en moins d'une seconde. On le retrouve près des conifères, tels que les pins et les sapins, il est commun dans les jardins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syrphe_ceintur%C3%A9

Insectes butinant des chatons de saule mersault. Source : http://data.abuledu.org/URI/50981ea9-insectes-butinant-des-chatons-de-saule-mersault

Insectes butinant des chatons de saule mersault

Chatons mâles de Saule Mersault (Salix caprea) fréquentés par une abeille mellifère (à gauche, Apis mellifera) et une osmie cornue (à droite, Osmia cornuta) récoltant du nectar à la base des étamines. Jardin des Plantes, Paris

Insectes de jardin. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7ac01-insectes-de-jardin

Insectes de jardin

Quelques insectes de jardin.

Jeune coccinelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d646c-jeune-coccinelle

Jeune coccinelle

Jeune coccinelle asiatique (Harmonia axyridis). Alors que les ailes sèchent, les couleurs apparaissent progressivement (Dans ce cas, les taches seront noires sur fond jaune orangé). Lieu : Parc urbain de la Citadelle, Lille (03 juin 2007), sur le flanc d'une branche de charme, couverte de plus d'une centaine de pupes, larves et jeunes coccinelles, d'environ 1,50 m au dessus du niveau du sol à plus de 3 m de haut. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coccinelle_asiatique

La légende du lapin-scribe maya. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a6635-la-legende-du-lapin-scribe-maya

La légende du lapin-scribe maya

"Papalotochtli" en couleur par Piolinfax, avatar pour le wiki en langue Nahuatl. Représentation du dieu lapin-scribe sur un vase Maya. Comme les japonais, les Aztèques croyaient que les tâches de la lune représentaient un lapin : une légende dit que les dieux, furieux de sa lâcheté, giflèrent Tecuciztecatl avec un lapin avant qu'il ne se transforme en lune et perde sa luminosité. Sur cette image, le lapin a des ailes de monarque (Danaus plexippus), et il est posé sur une fleur aquatique de Xochimilco au Mexique.

La légende maya du lapin-scribe. Source : http://data.abuledu.org/URI/535a6798-la-legende-maya-du-lapin-scribe

La légende maya du lapin-scribe

"Papalotochtli" par Piolinfax, avatar pour le wiki en langue Nahuatl. Représentation du dieu lapin-scribe sur un vase Maya. Comme les japonais, les Aztèques croyaient que les tâches de la lune représentaient un lapin : une légende dit que les dieux, furieux de sa lâcheté, giflèrent Tecuciztecatl avec un lapin avant qu'il ne se transforme en lune et perde sa luminosité. Sur cette image, le lapin a des ailes de monarque (Danaus plexippus), et il est posé sur une fleur aquatique de Xochimilco au Mexique.

Larves de coccinelles sous une branche de charme. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d5ea8-larves-de-coccinelles-sous-une-branche-de-charme

Larves de coccinelles sous une branche de charme

Environ trente pupes de coccinelles asiatiques (Harmonia axyridis) sous une grosse branche de charme. Parc urbain de la Citadelle, Lille (dimanche 3 juin 2007, 15:18:04). C'est une quantité tout à fait inhabituelle. Pupe = 4e stade larvaire (équivalent des chrysalides de papillons). Comme souvent chez les Coccinellidae, la chrysalide est accrochée à une feuille ou branchette sans être protégée du soleil, des intempéries ou prédateurs. Les restes d’exuvie du 4e stade sont attachés à l'extrémité postérieure de la chrysalide, au point d’attache sur le substrat. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coccinelle_asiatique

Lierre grimpant. Source : http://data.abuledu.org/URI/505040b0-lierre-grimpant

Lierre grimpant

Planche botanique de lierre rampant ou grimpant (Hedera Helix), Planche des Plantes de France, 1891 ; parfois surnommé à tort « bourreau des arbres » ou « herbe de saint-Jean », c'est une liane à feuilles persistantes en hiver, qui pousse de façon spontanée. "Il fleurit de fin septembre à octobre, c'est-à-dire après que presque toutes les floraisons d'autres plantes soient terminées, et après la chute des feuilles, le pollen pouvant mieux se disperser ainsi - et les fleurs peut-être plus visibles. C'est ainsi une source critique de nourriture pour les abeilles et autres insectes à une période où il y a peu de fleurs et où l'hiver arrive, et donc ensuite de fruits pour les oiseaux, en février, à une période où de même peu de fruits sont disponibles. Ainsi le lierre semble plutôt être une merveille de la nature ; loin d'être un parasite, c'est à l'inverse un organisme qui paraît doté très grand mutualisme, ce qui pourrait aussi expliquer son succès et le fait qu'il soit aussi répandu sur tout le territoire". (wikipedia)

Lierre terrestre. Source : http://data.abuledu.org/URI/5071cbd3-lierre-terrestre

Lierre terrestre

Planche botanique N°261 de l'Atlas des Plantes de France de Masclef, 1894 : Lierre terrestre (Glechoma hederacea). Toute la plante émet une odeur balsamique agréable, et a un goût aromatique rappelant la menthe avec une pointe d'amertume ou d'âcreté pour les feuilles et tiges ; la fleur est plus suave. C'est une plante mellifère dont le goût peut relever les salades ou les soupes. Les fleurs servent parfois pour décorer les gâteaux. Sa floraison précoce en mars-avril et durant jusqu'à l'automne, en fait l'une des premières fleurs de l'année et d'autant plus précieuse pour les insectes se nourrissant de nectar et notamment les bourdons. Elle a longtemps servi à clarifier, aromatiser et préserver la bière, avant l'utilisation du houblon. L'un de ses noms communs liés à la fabrication de la bière en anglais, est « gill », qui vient du français « guiller » (dit de la bière en fermentation). Elle a également été longtemps considérée comme une panacée : La « couronne de terre » est toute bénéfique. Placée sous la couche des jeunes mères, avec d'autres herbes, elle leur redonne des forces après le travail de l'enfantement d'après la tradition.

Néottie nid d'oiseau. Source : http://data.abuledu.org/URI/506402b0-neottie-nid-d-oiseau

Néottie nid d'oiseau

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. La Néottie nid d'oiseau (Neottia nidus-avis) est une plante herbacée vivace de la famille des Orchidaceae. C'est un géophyte à rhizomes dépourvu de chlorophylle. Elle de couleur brun jaunâtre. Ses fleurs, roussâtres, sont disposées en épi. Les feuilles sont brunes et transformées en écailles engainantes le long de la tige. La tige desséchée avec les capsules vides persiste d'une année sur l'autre. Sur l'appareil végétatif, en partie souterrain, la disposition et l'enchevêtrement des rhizomes et racines font penser aux brindilles d'un nid d'oiseau. La comparaison est attribuée au médecin et botaniste Jacques Daléchamps en 1586. La floraison s'étale de mai à juillet. Elle peut se faire sous terre. La pollinisation est assurée par les insectes, en particulier des coléoptères et des thysanoures. L'autofécondation peut avoir lieu à défaut de visite d'insecte: les pollinies enflent, puis s'effritent et le pollen se dépose sur le stigmate. La Néottie s'associe à un champignon qui vit en symbiose avec les racines d'un feuillu. L'énergie de l'arbre lui est transmise par le champignon. C'est une espèce d'ombre. Elle est mésophile et apprécie des sols riches au pH basique à neutre. Ses biotopes préférés sont les hêtraies, chênaies ou pineraies.

Nichoirs à chauves-souris de la Citadelle de Lille. Source : http://data.abuledu.org/URI/5539ffb5-nichoirs-a-chauves-souris-de-la-citadelle-de-lille

Nichoirs à chauves-souris de la Citadelle de Lille

Sans être vraiment spéciquement "muricoles", de nombreux lichens, mousses, plantes peuvent pousser sur les murs. Dans les régions non-montagneuses (ici Nord-Pas-de-Calais), quelques plantes rares (pour ces régions) ne poussent que sur ces murs ( espèces muricoles ou saxicoles, c'est à dire poussant habituellement sur des rochers). Photo prise en 2013, un an après rénovation du rempart de la citadelle de Vauban. Un écologue est passé avant le chantier pour localiser les espèces rares et une partie des anfractuosités ont été conservées (entre les pierres de grès notamment). Des nichoirs à chauve-souris ont été intégrés derrière les briques lors de la rénovation. Des trous pleins de terre pourront aussi abriter des abeilles solitaires ou d'autres insectes. Au pied du mur, l'ancien fossé a été réouvert et remis en eau.

Nid de larves de cercope des prés. Source : http://data.abuledu.org/URI/538af37a-nid-de-larves-de-cercope-des-pres

Nid de larves de cercope des prés

Nid de larves de cercope des prés (Philaenus spumarius). Le cercope des prés ou philène spumeuse est un petit insecte commun en Europe dans les plantes herbacées et ligneuses, de la famille des Cercopidae ; sa larve s'entoure complètement d'une mousse qu'elle sécrète. Cette mousse est communément appelée crachat de coucou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Philaenus_spumarius

Ophrys mouche. Source : http://data.abuledu.org/URI/506408cf-ophrys-mouche

Ophrys mouche

Planche botanique de l'Atlas des Plantes de France, 1891. L'Ophrys mouche (Ophrys insectifera) est une orchidée terrestre européenne qui doit son nom à l'apparence de sa fleur (qui ressemble à une mouche sombre). Etymologie : Ophrus signifie sourcil. Insectifera: du latin insecta (insecte) et fero (je porte). Cette espèce se rencontre en pleine lumière ou à mi-ombre, sur sols surtout calcaires, dans les pelouses, les bois clairs.

Pâquerette. Source : http://data.abuledu.org/URI/505775fc-paquerette

Pâquerette

Planche botanique de la pâquerette (Bellis perennis), Atlas des Plantes de France, 1891. Les fruits s'envolent grâce au vent (anémochorie) et dégagent des odeurs qui attirent les insectes. Elles ont la particularité, comme certaines autres fleurs de plantes herbacées, de se fermer la nuit et de s'ouvrir le matin pour s'épanouir au soleil ; elles peuvent aussi se fermer pendant les averses, voire un peu avant, ce qui permettrait dans les campagnes de prédire la pluie légèrement à l'avance. Les pâquerettes survivant très bien aux tontes répétées même très rases dans un gazon, où elles sont particulièrement visibles, elles ont donné lieu à l'expression « au ras des pâquerettes » signifiant « au ras du sol » et, métaphoriquement, « sans intelligence ». La pâquerette est parfois utilisée pour le jeu d'effeuillage de la marguerite. Victor Hugo y fait référence dans Les Misérables.

Pâquerettes vivaces. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ada8c2-paquerettes-vivaces

Pâquerettes vivaces

Bellis perennis ou pâquerette vivace, Jules Eudes (1856-1938), aquarelliste français qui signait ses œuvres JEUDES, dans : A. Guillaumin, "Les Fleurs de Jardins", tome I, Les fleurs de printemps, Paul Lechevalier, 1929. La pâquerette est haute de dix à vingt centimètres. Ses fleurs naissent sur des inflorescences appelées capitules. Celles du pourtour, qui ont l'aspect de pétales, sont appelées fleurs ligulées, parce qu'elles ont la forme d'une languette, ou demi-fleurons. Ce sont des fleurs femelles ; leur couleur varie du blanc au rose plus ou moins prononcé. Celles du centre, jaunes, appelées fleurs tubuleuses, parce que leur corolle forme un tube, ou fleurons, sont hermaphrodites. Ainsi, ce qu'on considère ordinairement comme une fleur de pâquerette n'est pas, du point de vue botanique, une fleur unique mais un capitule portant de très nombreuses fleurs. La pâquerette est très rustique. On la trouve dans les prés, les pelouses, les bords de chemins, les prairies, sur les gazons et les zones d'herbe rase. Leurs fruits s'envolent grâce au vent (anémochorie) et dégagent des odeurs qui attirent les insectes. Elles ont la particularité, comme certaines autres fleurs de plantes herbacées, de se fermer la nuit et de s'ouvrir le matin pour s'épanouir au soleil ; elles peuvent aussi se fermer pendant les averses, voire un peu avant, ce qui permettrait dans les campagnes de prédire la pluie légèrement à l'avance. En phytothérapie, la pâquerette est souvent utilisée pour lutter contre l'hypertension et l'artériosclérose (utilisation des fleurs et des feuilles). En infusion, une cuillère par tasse d'eau bouillante, laisser infuser 10 minutes, 3 tasses par jour. Les pâquerettes survivant très bien aux tontes répétées même très rases dans un gazon, où elles sont particulièrement visibles, elles ont donné lieu à l'expression "au ras des pâquerettes" signifiant "au ras du sol" et, métaphoriquement, "sans intelligence". La pâquerette est parfois utilisée pour le jeu d'effeuillage de la marguerite. Victor Hugo y fait référence dans Les Misérables. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A2querette

Pièges d'Utriculaire. Source : http://data.abuledu.org/URI/5059fde2-pieges-d-utriculaire

Pièges d'Utriculaire

Photographie de détail des pièges se fermant par un clapet entouré de longs poils sensitifs d'Utriculaire (Utricularia vulgaris), plante carnivore aquatique.

Pinson mâle. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fc07cb-pinson-male

Pinson mâle

Pinson mâle (Fringilla coelebs) : Il est inféodé globalement aux bois de conifères, décidus ou mixtes en plaine et en moyenne montagne. Mais il fréquente aussi les forêts claires avec leurs lisières et leurs clairières, les landes, les taillis, les vergers, les bosquets, les cultures, les parcs et les jardins des villes et des villages, autant de zones boisées pourvu qu’il dispose d’espace libre entre les arbres d’où sa rareté en forêt dense. Son bec, à la fois large à la base et pointu, traduit une adaptation alimentaire mixte de graines et d’invertébrés. Les graines d’arbres les plus prisées sont celles de hêtres (Fagus), d’érables (Acer), de bouleaux (Betula), d’aulnes (Alnus) et de résineux. Les bourgeons, baies et fruits sauvages et cultivés ainsi que les graines des plantes herbacées et céréalières (surtout le colza) sont aussi consommés mais en période de reproduction le régime devient nettement insectivore à l'opposé de la majorité des passereaux. Les pinsons des arbres capturent des insectes dans les branches et sur les feuilles, voire au cours de petits vols vifs et acrobatiques.

Plantes et papillon de Vanikoro. Source : http://data.abuledu.org/URI/59907600-plantes-et-papillon-de-vanikoro

Plantes et papillon de Vanikoro

Henri-Pierre Aberlenc, ''Les savants de Lapérouse, la biodiversité et le peuplement de Vanikoro par les Insectes'' ː mosaïque d’espèces cultivées (photos 6 à 8) à Vanikoro, et chenille du papillon Sphinx (Agrius convolvuli) à Païou sur des feuilles de la Patate douce Hypomoea batatas (photos 9 à 11).

Pollinisation de fleurs de carottes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5329db62-pollinisation-de-fleurs-de-carottes

Pollinisation de fleurs de carottes

Pollinisation de fleurs de carottes (Daucus carota) par la piéride du navet (Pieris napi).

Punaise de la jusquiame. Source : http://data.abuledu.org/URI/5415db99-punaise-de-la-jusquiame

Punaise de la jusquiame

Punaise de la jusquiame (Corizus hyoscyami) : punaise rouge et noire qui se reconnait à l'absence de point blanc sur la membrane, à la présence d'une tache rouge centrale sur le scutellum et par deux taches noires en forme de cœur sur le pronotum. Elle a aussi une forte pilosité et de nombreuses nervures sur la membrane. Elle se nourrit sur des plantes toxiques et sa couleur rouge et noir avertit les éventuels prédateurs de sa toxicité.

Six fourmis de feu. Source : http://data.abuledu.org/URI/534b9f58-six-fourmis-de-feu

Six fourmis de feu

Les fourmis de feu (Solenopsis invicta) sont plus agressives que la plupart des espèces de fourmis autochtones et se distinguent par leur piqûre douloureuse. Lorsqu'une personne marche par inadvertance sur un de leurs tumulus, elle provoque une effervescence des insectes qui essaiment rapidement sur ses jambes et l'attaquent en masse. Les fourmis sont réceptives aux phéromones émises par la première fourmi attaquante. Les fourmis se forment alors en essaim et piquent immédiatement et indistinctement au moindre mouvement. Les fourmis de feu sont toujours en mouvement, voyageant d'une région à l'autre dans les mottes de gazon, les racines de plantes de pépinières ou d'autres produits agricoles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Solenopsis_invicta

Syrphe ceinturé sur une pâquerette. Source : http://data.abuledu.org/URI/53adab9a-syrphe-ceinture-sur-une-paquerette

Syrphe ceinturé sur une pâquerette

Syrphe ceinturé (Episyrphus balteatus) sur une pâquerette. Ses œufs sont pondus dans des colonies de pucerons. Les larves qui en émergent se nourrissent alors uniquement de ces insectes. Les adultes, quant à eux se nourrissent de nectar et de miellat. On le confond souvent avec les guêpes, mais le syrphe est inoffensif. Son seul moyen de défense, est son extraordinaire rapidité, qui lui permet de s'éclipser en moins d'une seconde. On le retrouve près des conifères, tels que les pins et les sapins, il est commun dans les jardins. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syrphe_ceintur%C3%A9

Utriculaire commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5059e852-utriculaire-commune

Utriculaire commune

Planche botanique de l'utriculaire commune (Utricularia vulgaris), Atlas des Plantes de France, 1891. C'est une plante carnivore aquatique vivace qui vit dans les zones marécageuses. Elle fait 15-35 cm de haut, elle fleurit en juin-août. La tige fleurie est dressée au-dessus de l'eau et les fleurs sont jaune d'or. Les utricules sont des pièges actifs à succion. Les outres des pièges sont fermées par un clapet entouré de longs poils sensitifs. Lorsqu'une proie aquatique comme un petit crustacé touche ces filaments, l'outre se remplit d'eau brusquement ce qui aspire la proie. Le clapet se referme aussitôt et la digestion se fait grâce à des enzymes.

Vol de criquets pélerin. Source : http://data.abuledu.org/URI/53031cf0-vol-de-criquets-pelerin

Vol de criquets pélerin

Vol de criquets pélerin au-dessus du désert.